000 | |||
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001 | 26274 | ||
010 | _a9782374250380 | ||
090 | _a26274 | ||
100 | _a20170214d2016 m y0frey50 ba | ||
200 | 1 |
_aComment la France a tué ses villes _bLIVR _fOlivier Razemon |
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210 |
_cRue de l'échiquier _dDL 2016 |
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215 |
_a1 vol. (187 p.-[16 p.] de pl.) _d21 cm |
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225 | _aDiagonales | ||
101 | 0 | _afre | |
300 | _aBibliogr. p. 183-185 | ||
330 | _aDes vitrines vides et sombres, des façades aveugles, des stores métalliques baissés. Calais, Agen, Landerneau, Avignon, Lunéville... La crise urbaine ronge les préfectures et sous-préfectures, les détruit de l'intérieur. Les boutiques abandonnées ne constituent que le symptôme le plus flagrant d'un phénomène plus large : la population stagne, les logements sont vacants, le niveau de vie baisse. Alors que se passe-t-il ? L'offensive délibérée de la grande distribution, en périphérie, tue les commerces du centre-ville et des quartiers anciens, et sacrifie les emplois de proximité. En outre, les modes de vie sont fortement liés aux modes de déplacement. Partout, la voiture individuelle reste considérée comme une obligation, un dû. Or, parce qu'elle occupe de l'espace et génère bruit et pollution, la motorisation contribue largement à l'asphyxie des villes. Comment la France peut-elle sauver ses villes ? Aucune solution miraculeuse, mais une série de petits pas, de décisions empreintes de sobriété. | ||
676 | _a307.760 9440904 | ||
606 |
_311936078 _aCentres-villes _311975691 _xAspect social _311931476 _yFrance _312432924 _z1990-.... |
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606 |
_311974611 _aPolitique urbaine _311931476 _yFrance _312432924 _z1990-.... |
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700 |
_316512947 _aRazemon _bOlivier _f1967-.... |